mercredi 9 novembre 2011

H.A.A.R.P

H.A.A.R.P est - à l'origine - un programme militaire et scientifique de recherche sur les propriétés de la haute atmosphère, appelée ionosphère. Son objet officiel était à son lancement en 1993 : "l'amélioration des systèmes de communication et de surveillance, à des fins tant civiles que militaires". Mais le spectre de ses applications potentielles s'avère bien plus étendu : scans des sous-sols terrestres, manipulations du climat, déclenchement de séismes et... influence psychique des individus (!)


L'excellente émission canadienne "Les archives oubliées" a réalisé ce documentaire qui présente et résume admirablement les enjeux et dangers de cette technologie - en activité - sans réel contrôle démocratique.




Pour des données plus techniques, le rapport du GRIP (Groupe de Recherche et d'Information sur la Paix et la sécurité) intitulé "Le programme HAARP, science ou désastre ?" est téléchargeable ici.



L'Union Européenne a bien tenté d'obtenir des informations précises quant à l'utilisation que les américains faisaient réellement de cette technologie. Une commission d'enquête a été crée, mais les américains ont refusé de répondre aux questions qui leur étaient adressées. La commission a même été déstabilisée et finalement enterrée par le discrédit de son incorruptible directeur, dans les valises duquel la douane a opportunément trouvé du cannabis et une cassette pornographique gay, comme le rapporte ce mini-documentaire réalisé par I.Télévision (à 3min19).


Étêtée, cette commission a finalement et sobrement conclu que : « Le système militaire américain de manipulation ionosphérique, HAARP, lequel est basé en Alaska et ne représente qu'une partie du développement et de l'usage d'armes électromagnétiques à des fins de sécurité tant extérieure qu'intérieure, constitue un exemple d'une nouvelle menace militaire particulièrement grave pour l'environnement et la santé humaine au niveau planétaire ».


Conclusion :

La folie de certains ne semble pas avoir de limite. Nicolas Tesla, comme Albert Einstein, avait bien raison de craindre les applications de ses découvertes. "Science sans conscience n'est que ruine de l'âme" mais également de la vie, plus globalement. Or la conscience ne s'avère pas être le point fort des plus hautes instances militaires et gouvernementales. Il est urgent que des êtres de bon sens, portés par l'intérêt des populations, reprennent le contrôle de la situation.

Ce dossier est à rapprocher de celui sur les chemtrails qui transforment l'ionosphère en un véritable miroir réfléchissant pour les salves d'énergie qui y sont projetées. Il est peut-être également lié à celui sur les hécatombes mystérieuses d'animaux qui surviennent partout sur le globe depuis la fin 2010.

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