Le cancer est un des fléaux de notre époque. Sa progression est exponentielle. Des thérapies au moins aussi dangereuses que la maladie existent, mais n'avons-nous pas oublié des voies plus naturelles vers la guérison ? N'avons-nous pas négligé les mesures prophylactiques, connues pourtant depuis des millénaires, qui pourraient nous protéger de ces terribles désordres cellulaires ?
Dans le documentaire australien intitulé "On est ce qu'on mange", réalisé en 2008 par James Colquhoun et Laurentine Bosch, chercheurs et nutritionnistes dégagent les principes qui régissent la santé et affirment que le cancer peut être guéri sans traitement chimique ou ionisant. Ils révèlent que cette maladie dégénérative et souvent fatale, pourrait être quasiment éradiquée par une modification substantielle de notre alimentation.
Des malades, revenus des traitements conventionnels, témoignent :
Guy Dauncey, auteur et conférencier canadien explique pourquoi en plus d'être non-toxique, la nourriture bio est en elle-même anticancéreuse.
Manger local et bio est possible grâce au développement du mouvement des "AMAP" (Aide au Maintien de l'Agriculture Paysanne) partout sur le territoire français.
Manger bio et donc soutenir l'agriculture bio a de plus l'avantage de ne pas souiller les nappes phréatiques par les engrais de synthèse et les pesticides. Or une eau pure est bien évidemment l'aliment le plus nécessaire à la vie et à une parfaite santé.
A partir d'expérimentations réalisées à l'Inserm entre 1966 et 1971, le docteur Gernez a démontré qu'avec la mise en application d'un protocole de prévention active 93% des cancers étaient évitables. Cette étude irréfutable ne sera jamais publiée. Ce sera "le scandale du siècle", qui donnera son titre au documentaire reprenant l'histoire et les découvertes faites par André Gernez concernant les maladies dégénératives : cancer, Alzeihmer, Parkinson, sclérose en plaque, schizophrénie... Et à bien y regarder, sa cure ressemble étrangement à celle du Carême ou du Ramadan (quand il est pratiqué dans les règles, c'est à dire sans festins nocturnes compensateurs) où restriction de la ration alimentaire se conjugue avec allègement des aliments ingérés.
Conclusions :
Pour rester en bonne santé ou la retrouver, il faut manger le plus possible frais, végétal, cru, bio, détoxiner son corps régulièrement, supplémenter ses repas en vitamines et éviter au maximum... les médicaments et traitements toxiques.
Notre santé va de pair avec celle de la planète, pas avec celle de l'industrie des produits chimiques, dont la branche pharmaceutique reste la plus lucrative de toutes les industries - avant même celle du pétrole. (Dossier lié : l'industrie pharmaceutique)
Pour changer le monde, il "suffit" donc de changer soi-même.
Vertigineux, mais finalement plus abordable qu'une hypothétique et dévastatrice révolution ! ;)